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«J'écris parce que je suis heureux. Excessivement depuis le départ. Ce livre est une tentative désespérée pour comprendre les gens malheureux. Par exemple : comment se fait-il que Paris soit une ville de plaisir où les trois quarts des gens meurent de chagrin ? C'est agaçant. À titre de simple enquête, j'ai longé les bords de la Seine. J'ai inventé un personnage et je me suis mis dans la peau de ce personnage. Après quoi, naturellement, je me suis laissé inviter chez les gens. Mon Dieu, la conclusion n'est pas très gaie. À l'heure de la Pyramide du Louvre et des colonnes de Buren, le Chagrin est toujours bien ce qu'il était. C'est à désespérer des gens moroses. Sauf à noter la chose suivante : pas de grande mélancolie sans, consécutives, toutes sortes de petites comédies. C'est leur poudroiement volubile que j'ai voulu épingler.»David di Nota.
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