"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Eugénie les larmes aux yeux/ nous venons te dire adieu/ nous partons de bon matin/ nous partons pour le Mexique/ Adieu belle Eugénie adieu, dans un an nous reviendrons. » A-t-elle pleuré souvent cette femme, qui était d'une grande beauté ?
Les larmes des soldats légionnaires venant la saluer avec cette chanson avant de partir au combat, font écho à toutes celles que l'impératrice a versées. Des larmes pour les frasques et l'infidélité de son époux, pour la perte de son premier enfant et la mort du prince impérial après Sedan.
Cette Espagnole de bonne famille, admirée et courtisée aurait pu se marier dans son Espagne, mais le hasard d'un séjour à Paris en a voulu autrement. Elle croisa le chemin du futur empereur, séducteur invétéré qui se vantait de n'avoir jamais rencontré de résistance auprès des femmes qu'il convoitait. Eugénie succomba au charme de cet homme, auquel on promettait un avenir digne de celui de son oncle Napoléon 1er, avec en mémoire les prédictions d'une diseuse de bonne aventure.
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