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Et audivit vocem - partition pour choeur d enfants et orgue

Couverture du livre « Et audivit vocem - partition pour choeur d enfants et orgue » de Benoit Menut aux éditions Artchipel
  • Date de parution :
  • Editeur : Artchipel
  • EAN : 9790560250953
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Apocalypse de saint Jean, 21 3, 4Et audivi vocem magnam de throno dicentemecce tabernaculum Dei cum hominibuset habitabit cum eis et ipsi populos eius eruntet ipse Deus cum eis erit eorum Deuset absterget Deus omnem lacrimam ab oculis eorumet mors ultra non erit neque luctus neque clamor neque... Voir plus

Apocalypse de saint Jean, 21 3, 4Et audivi vocem magnam de throno dicentemecce tabernaculum Dei cum hominibuset habitabit cum eis et ipsi populos eius eruntet ipse Deus cum eis erit eorum Deuset absterget Deus omnem lacrimam ab oculis eorumet mors ultra non erit neque luctus neque clamor neque dolorerit ultra quae prima abieruntJ'entendis alors une voix clamer du trône :« Voici la demeure de Dieu avec les hommes.Il aura sa demeure avec eux, ils seront son peuple,et ce Dieu avec-eux sera leur Dieu.Il essuiera toute larme de leurs yeux :de mort, il n'y en aura plus, de pleurs, de cris, de peine,il n'y en aura plus, car l'ancien monde s'en est allé ».Cette pièce, écrite en octobre 2011, s'inscrit à la suite de Caelestis Ierusalem pour choeur de femmes composée en 2006, qui avait pour support textuel les deux premières parties de ce vingt-et-unième chapitre de la magnifique Apocalypse de saint Jean. Dans cet hymne à l'espoir, j'ai souhaité intégrer un choeur d'enfants symbolisant la voix d'un Dieu consolant et omniscient. Le matériau de l'oeuvre est composé de trois notes, image sonore d'une trinité apaisante, et aussi d'un élément rythmique sautillant et joyeux qui occupe de plus en plus d'espace au fur et à mesure du déroulement musical. Cet élément prend tout son sens à la fin de la pièce lorsque, repris par le choeur, il devient à son tour le symbole de l'effacement de la douleur, de la peine, des pleurs et de la mort, par la volonté divine.Benoît Menut

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