Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
« Les usagés du métro », « La Chambre des dépités », « Un pour tous, tous pourris ! » « Minute Pape Pie XI ! », « Va boire ailleurs, ici j'essuie ! ».
Carence de vocabulaire pour les uns, humour potache et jeu de mots un peu lourdingue pour les autres, vrai ou faux lapsus. Le calembour n'a pas vraiment bonne presse. Et pourtant, à peine proféré, intentionnellement ou non, il déclenche le rire.
Le calembour est partout. Il est dans la rue, à la radio et même chez les meilleurs auteurs, de Marcel Proust à Albert Cohen en passant par Jésus-Christ. Marie Treps entreprend dans ce petit livre, réédition augmentée et amplement remaniée de son précédent ouvrage, Calembourdes (Seuil, 1999), de débusquer les dérapages de notre logique verbale. L'esprit de sérieux en prend un coup ! À bon entendeur, salaud !
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