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La fin de l'épisode précédent, Le Cygne d'argent, nous avait laissé dans un état d'angoisse et d'attente difficilement supportable. Fait bien naturel, puisque voulu par les auteurs, construisant pour une fois leur histoire en deux volumes dont voici le dénouement, Les Chiens rouges. Monge et Ménard font tout pour dénouer cette intrigue complexe où se mêlent des assassinats de prostituées, une secte, bien plus dangereuse que ce qu'ils avaient pu imaginer, qui officie dans les bas-fonds des catacombes parisiennes, une histoire d'héritage, et une conspiration organisée par de puissants notables...
Ils vont obtenir la certitude que Rosine, la jeune prostituée, a été assassinée car elle savait quelque chose qu'elle n'aurait pas dû connaître ! Quelque chose qui concerne son amie Madeleine, devenue aujourd'hui Alice, la fille adoptive du baron Beeckmann...
Mais lorsque Ménard va se faire tuer et que Monge va se retrouver seul, tout se compliquera d'avantage...
Le scénario finement ciselé de Bardet nous entraîne dans une intrigue des plus sombres que Chabbert met en scène avec toujours plus de talent. Redoublant d'originalité et d'efficacité dans ses cadrages et sa mise en scène, il offre ici un très bel album.
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