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La Cuisine de guerre est sortie sous la forme d'un fascicule un an avant la fin de la Première guerre mondiale, en 1917, sur les presses de l'imprimerie Albert Dupuis à Lausanne.
Bien que la Suisse fût préservée de la grande guerre, elle n'échappa pas aux difficultés de l'économie générale. Pour pallier à cela, et visant le coeur de la communauté, c'est-à-dire la famille, Auguste Jotterand, en bon samaritain, propose à tous les ménages un florilège de recettes élémentaires, afin, comme il le note lui-même dans sa préface, d""apporter un peu de réconforts à mes aimables lectrices".
Il leur affirme qu'avec sa méthode il sera possible d'économiser 150 % sur la viande et autres produits, "tout en mangeant une nourriture saine et fortifiante". Il faut dire que l'auteur n'est pas à son premier coup d'essai et qu'il se nomme lui-même professeur de cuisine. La technique est sans faille, couper les oignons le plus finement possible, troquer le beurre pour de la graisse, ou encore proposer une vieille recette de conserve d'oeufs.
L'auteur n'a rien oublié, de la soupe au repas principal, en terminant par les desserts.
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