Des idées de lecture pour ce début d'année !
Les effets de la crise ne se sont pas limités à la débâcle de la finance et à la récession économique. En effet, elle a aussi touché le monde des économistes et certains ont parlé de la déroute de ceux qui n'ont pas réussi à la prévoir et à en mesurer l'ampleur.
La question qui se pose aujourd'hui est de connaître les raisons de cette déroute et de ce naufrage collectif. Comment expliquer cette faillite des économistes ? Comment analyser cette incapacité à prévoir l'une des plus graves crises de l'histoire économique moderne ? D'où vient cet aveuglement en la capacité du marché à corriger les errements des traders, attirés par le profit et le gain à très court terme ? Pourquoi éprouvent-ils les plus grandes difficultés à formuler les politiques nécessaires pour sortir de la crise actuelle ? Et, surtout, est-ce que le champ de la réflexion économique est capable de se renouveler pour échapper à sa propre crise, ainsi qu'à la défiance et à la suspicion que certains éprouvent aujourd'hui vis-à-vis des économistes ?
Cet ouvrage apporte des éléments globaux de réponse à ces questionnements et à ces interrogations. Les auteurs montrent que la faillite des économistes réside principalement dans la volonté de faire de leur domaine un champ de savoir qui se rapproche davantage de celui du monde de la nature et s'éloigne des sciences sociales et humaines. Cet ouvrage suggère également des pistes pour renouveler la réflexion et reconstruire le champ économique.
Il s'adresse aussi bien aux économistes et aux étudiants de cette discipline qu'à toute personne désirant comprendre les raisons de cette déroute.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."