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Dans le courant de la vague nationaliste qui toucha aussi la musique à la fin du XIX° et au début du XX° siècle, on vit émerger quelques figures du Nord de l'Europe. Si la plus connue en France reste Edvar Grieg, on se doit cependant d'évoquer celle de confrère - et ami - Carl Nielsen (1865- 1931), danois issu d'une modeste famille de paysans, qui l'ogligea à débuter la musique militaire à l'âge de 14 ans afin d'aider aux finances. Mais c'était sans compter sur son goût pour le violon et sa persévérence à intégrer le Conservatoire de Copenhague où, bien des années plus tard, il enseigna. En effet, ses origines paysannes et son mince bagage fionien ne laissaient en rien prévoir sa formidable ascension tant dans le domaine purement musical que dans l'enrichissement de sa personnalité artistique, culturelle et humaine. Sa gloire musicale, clairement bicéphale, repose sur ses symphonies et concertos à l'étranger et sur sa musique vocale à l'intérieur des frontières du royaume danois, notamment ses mélodies ou encore l'opéra Maskarade tenu pour un joyau national.
Pratiquement chaque Danois connaît encore une ou plusieurs de ses chansons sans toujours poser son nom sur ce qu'il entend.
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