L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Une suite de textes qui sont aussi bien des poèmes en prose que des narrations ouvertes, en voie de constitution et qui appellent la continuation d'un travail de l'imaginaire du côté du lecteur, à partir d'une simple situation, d'une sensation qui insiste, d'une réplique : telles sont les Brumes que propose Marie-Laure Hurault. Textes étranges, aux marges des genres constitués, qui composent un univers, et qui imposent une idée de la littérature (...) Une idée de la littérature aussi, qui reste proche de ce que des écrivains comme Bataille ou Blanchot ont dans toute une partie de leur oeuvre cherché à développer. Avec une manière de refuser l'assignation générique - le roman, au sens que ce terme prend lorsqu'il désigne justement cette assignation -, de proposer quelque chose comme du récit, c'est-à-dire une manière d'utiliser la narration pour qu'une expérience ait lieu, pour que la lecture devienne cela, une expérience. Expérience en l'occurrence redoublée par l'existence, dans le volume, des dessins de Frédéric Khodja, qui répondent, par larges blocs sombres et vibrants, à l'ontologie particulière qu'invente Marie-Laure Hurault.
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