"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
De la magie nait l'ambition et de l'ambition naissent les ténèbres...Paris, en 1860. Nelson Staightback et Jenny Sullivan mettent fin à leur association avec Jean-Jacques Bonneteau pour tenter leur chance à Londres. Mais le maigre succès qu'ils parviennent à obtenir prend fin lorsque l'enfant qu'ils font monter sur scène pour faire mine de le faire disparaître se volatilise réellement... Avant de fuir la foule en colère, Nelson a tout juste le temps de repérer, dans la boîte où se trouvait le gamin, une pierre noire...Alors que ses anciens compagnons sont dans une sale situation, Nelson embarque sur un paquebot en direction des États-Unis, et réalise avec stupeur qu'il est désormais vraiment capable de faire de la magie...C'est dans une ambiance gothique et nimbée de mystère que vous invite à entrer Black Stone, nouvelle série où les sombres méandres de l'esprit humain sont autant à craindre que les pouvoirs occultes de la magie... Une série proche de l'esprit des films Le Prestige ou L'Illusionniste de Neil Burger, où prestidigitation et véritable magie se mêlent habilement, pour une intrigue fantastique et passionnante.
J’ai d’abord été attirée par la couverture que je trouve très belle et assez mystérieuse pour avoir envie de découvrir le contenu. Une BD qui parle de magiciens tels que nous les connaissons, j’aimais beaucoup l’idée ! Le scénario s’apparente beaucoup à une enquête puisque Jean-Jacques va tenter de suivre la piste de Nelson et retrouver l’enfant. Mais la magie est très présente et sous différents aspects. Jean-Jacques continue d’exercer son métier pour pouvoir vivre et payer les frais qu’occasionne son enquête. En parallèle, Nelson se découvre de véritables pouvoirs avec cette étrange pierre. En plus de toutes ces illusions, les auteurs ont ajouté une part de fantastique lorsque l’on en apprend un peu plus sur l’enfant… Mais je n’en dirais pas plus !
Lorsque les illustrations ne me plaisent pas, j’ai du mal à entrer dans l’histoire et bien souvent, je n’arrive pas à dissocier les deux. Ici, les illustrations ne correspondent pas vraiment au style que j’affectionne. Néanmoins, elles fonctionnent bien avec l’intrigue et ne m’ont pas freinée dans ma lecture.
https://lecturesdemistinguette.wordpress.com/2017/02/07/the-black-stone-eric-corbeyran-et-eric-chabbert/
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