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L´année 1590 montre bien la faiblesse de la République de Genève : comme la guerre s´éternise - on pensait que tout aurait été réglé en quelques mois. La ville n´a plus d´argent, les caisses de l´Etat sont vides et celles des particuliers aussi : il faut trouver des prêteurs au-dehors... Les alliés bernois, par l´inique traité de Nyon, ont fait faux-bond. Mais il y a de temps à autre une bonne nouvelle, une lueur d´espoir : les Genevois s´emparent de Gex et même du fort de l´Ecluse. Les Bernois renoncent au traité de Nyon, le duc de Savoie paraît soudain pris par ses campagnes en Provence. Voilà beaucoup de points auxquels rattacher l´optimisme naturel de Théodore de Bèze. Il prêchait assidûment, et s´écriait : qui aurait jamais cru qu´au seizième mois de guerre, on trouve encore quelque chose à manger au marché de Genève ? Ses lettres sont de même pleines de ces élans d´espoir qui brillent dans la nuit.
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