"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« L'édition du nouveau Veni, vidi, Vichy, publiée huit an et demi après la première, était à nouveau destinée, de principe, à un public limité. Sa prise en charge par un obscur éditeur, Deux-Rives, interdisait d'emblée une diffusion de masse. L'ouvrage, si on le rapporte aux faits établis par les archives originales entre les années 1930 et l'après-guerre, fournit pourtant un complément d'information ou une confirmation.
C'est dire l'importance du témoignage de cet ambassadeur exceptionnel, seul démissionnaire du corps diplomatique de l'époque, et que de Gaulle nomma à son retour à Paris secrétaire général du Quai d'Orsay, c'est-à-dire second personnage officiel, derrière le ministre, du ministère des Affaires étrangères : c'était rendre hommage aux mérites patriotiques exceptionnels que s'était acquis, dès le 17 juin 1940, le secrétaire général-éclair quasi inconnu de tous. »
Extrait de la préface d'Annie Lacroix-Riz
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