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Auguste Comte a fondé le positivisme comme philosophie des sciences et comme socio-politique. Après son étude comme politique des savoirs (t. I), ce tome précise celle des pouvoirs, en politique intérieure et en politique extérieure. En un siècle, le positivisme se pluralise. Les positions du maître et des disciples sont confrontées.
En socio-politique intérieure les points majeurs sont la distribution des pouvoirs, l'organisation du travail et celle de la famille. La socio-politique extérieure vise la fraternisation des peuples. Comte voulait un Occident puis un monde de républiques sociocratiques. Les disciples sont confrontés aux patriotismes, nationalismes, colonialismes et au retour des guerres. Le positivisme se diffuse avec adaptations et réappropriations mêlées à d'autres inspirations. S'il disparaît comme mouvement ou école, il s'immisce un peu partout, morcelé ou complété, traduit ou trahi, apprécié ou fustigé, revu et corrigé, mais persévérant.
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