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Sur les petits métiers de la rue et de la débrouille au Congo-Brazzaville : vitalité linguistique et dynamique langagière

Couverture du livre « Sur les petits métiers de la rue et de la débrouille au Congo-Brazzaville : vitalité linguistique et dynamique langagière » de Jean-Alexis Mfoutou aux éditions L'harmattan
Résumé:

Les petits métiers de la rue et de la débrouille sont devenus un fait social, démographique, culturel et politique congolais indéniable.
Quelques activités sont ici significatives : bana bilongo, bana brouette, bana mayi, bana vernis, bordelle, boy-chauffeur, changeur, chargeur, cireur,... Voir plus

Les petits métiers de la rue et de la débrouille sont devenus un fait social, démographique, culturel et politique congolais indéniable.
Quelques activités sont ici significatives : bana bilongo, bana brouette, bana mayi, bana vernis, bordelle, boy-chauffeur, changeur, chargeur, cireur, colleur de roues, échangiste, enseignant volontaire, féticheur, koro-koro, Londonnienne, marchand d'eau glacée, michelin, mongando, nzété-nzété, parkinguier, phaseur, porteur, pousse-pousseur, prostituée fixe, prostituée mobile, putaine, récolteur de vin de palme, trottoire, Z, Zaïroise, etc.
Ces mots suggèrent que l'aventure de celles et ceux qui s'adonnent aux petits métiers de la rue et de la débrouille n'est pas une marche au hasard, mais une quête dans la précarité, avec les difficultés, les espoirs et les désespoirs d'un « plus ».
Cela invite à regarder la société et à l'interroger. Que faire devant la misère ? L'auteur montre précisément comment les Congolais tentent de répondre à cette question aigüe.

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