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Sources lumineuses pour l'optoélectronique

Couverture du livre « Sources lumineuses pour l'optoélectronique » de Froehly Claude aux éditions Hermes Science Publications
Résumé:

A l'exception des émissions naturelles, la plupart des sources lumineuses artificielles existantes ont trouvé des applications dans un secteur ou l'autre des sciences et techniques optoélectroniques : les traditionnelles lampes à incandescence, à décharges, à arcs, gardent toujours une place,... Voir plus

A l'exception des émissions naturelles, la plupart des sources lumineuses artificielles existantes ont trouvé des applications dans un secteur ou l'autre des sciences et techniques optoélectroniques : les traditionnelles lampes à incandescence, à décharges, à arcs, gardent toujours une place, notamment dans la production des flux lumineux élevés , en même temps se développent de nouveaux composants à performances énergétiques, temporelles, spectrales croissantes, au premier plan desquels on trouve de nombreuses variétés de lasers à solides, à liquides, à gaz, etc. Il existe de multiples documents généraux ou techniques rendant largement compte de toute cette diversité. Le traité réalisé ici propose une information plus ciblée, en partie originale, sur des types de sources se situant à la pointe des progrès de l'optoélectronique. Les lasers semi-conducteurs, qui jouent un rôle majeur dans les télécommunications optiques et beaucoup d'équipements civils et militaires, figurent dans un chapitre d'un autre volume de cette collection. Ont donc été retenus pour celui-ci les lasers et amplificateurs fibrés, devenus également composants-clés et en pleine évolution des télécommunications, les sources d'impulsions laser brèves et leurs interactions en milieux matériels, sur lesquelles se fondent tous les traitements optiques à hauts débits du signal lumineux, les convertisseurs fréquentiels et amplificateurs à faible niveau de bruit que constituent les oscillateurs et les amplificateurs paramétriques de l'optique non linéaire. Enfin un chapitre a été réservé aux émetteurs organiques et polymères, nés il y a une quinzaine d'années seulement et déjà prêts pour l'industrialisation, avec un exceptionnel potentiel d'applications - limité cependant par l'incohérence des rayonnements qu'ils fournissent aujourd'hui.

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