Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Ancienne et elle a beaucoup changé. Pourquoi, à propos d'un roman de Tolstoï, d'une pièce de théâtre de Tchekhov, d'un ballet de Tchaïkovski, revient si souvent l'expression l'âme russe ? Pourquoi attribue-t-on à cette âme la qualité de mystique ? Ce sont des façons de parler, mais elles ont une histoire.
Pour en retrouver l'origine il faut remonter à des orientations religieuses très anciennes. Alain Besançon a essayé d'en suivre le destin compliqué de siècle en siècle. Français, nous avons admiré ou détesté la Russie pour les motifs les plus opposés. Pour sa religion, son antireligion, sa barbarie, ses réalisations, son conservatisme, ses révolutions. Nous l'avons aimée ou haïe d'un amour de tête ou d'un amour de coeur, portés par nos propres passions, sans avoir pris la peine de l'étudier ni de la connaître comme elle est vraiment.
La Russie est ce qu'elle est et nous lui rendons mieux justice en écartant le prisme déformant des passions françaises.
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