Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Une poésie petite et toujours balbutiante ; un paysage cherchant son peintre. Ce qui fut d'abord publié sur le web, dans l'immédiateté de l'expérience vécue, avec ses hachures, ses plages de silence et ses ouragans, se trouve ici sédimenté, constitué en unité.
Une petite poésie, oui, comme chacun en porte une, et qui ne fait pas oeuvre mais seulement texte. Et ce texte se brise contre la parole, réitérant l'affront d'essayer toujours de dire, ce qui se refuse. On ne s'étonnera pas, alors, des voies sans issue auxquelles par endroits, le texte donne la voix, revenant toujours à sa matière verbale, l'épurant peu à peu, inventant lentement sa langue. Souvent noire, comme la mer la nuit.
En lignée d'une tradition vieille comme le chant, J. Ailesbée voudrait écrire le tremblement de vivre en homme, c'est-à-dire la perpétuelle absence, encore sauvage, dominante, qui, de la vallée à la marée, du ruisseau au papillon cherche un domaine où s'incarner.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle