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Bien que reconnue et traduite dans de nombreux pays, l'oeuvre de René Girard est peu reconnue en France et conserve une réputation sulfureuse dans les milieux académiques. Pourtant ses idées ont imprégné le discours de bien des enseignants et chercheurs. Point essentiel : la familiarité de l'auteur avec le christianisme. Celui que l'on a pu appeler « le Hegel du christianisme » voudrait démontrer la supériorité spirituelle et philosophique de cette religion.
Etonnante pensée que celle de R. Girard, caractérisée par un mixte de simplicité et de complexité. Ses concepts, peu nombreux, souvent puisés dans le langage commun (bouc émissaire, lynchage, contagion, scandale, Satan et Jésus, etc.) n'en n'acquièrent pas moins une puissance opératoire et explicative peu commune, imprégnant l'ensemble de sa production.
L'ouvrage présente l'oeuvre de René Girard en articulant trois de ses apports fondamentaux. 1) La théorie du désir mimétique 2) La théorie de la « victime émissaire », ou de la violence fondatrice 3) L'importance du processus de la « méconnaissance », qui est au fondement du processus de la violence fondatrice.
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