Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Les "Regrets sur ma vieille robe de chambre" (1768), que l'on a généralement associés aux pièces esthétiques de Diderot, sont avant tout un "avis à ceux qui ont plus de goût que de fortune", et se rangeraient plutôt aux côtés de ces tableaux de critique sociale, dont l'oeuvre de Diderot foisonne. Ils stigmatisent - avec la joie qui caractérise Denis - cette propension aveugle à la "nouveauté", ce mauvais goût qui remplace l'intelligence des choses, cette bêtise abyssale caractéristique de la richesse sans mesure, et s'il se trouvait un Diderot qui puisse écrire aujourd'hui (et publier), il s'en prendrait probablement à ceux que notre siècle de consommation, qui ne parle plus que par onomatopées, désigne de celui de bling-bling.
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