L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
À travers Pris en otage, le poète Éric Sivry nous invite à tanguer dans les saisons voyageuses du temps et de l'espace. Que peuvent nos vaines puissances devant celle de la nature qui nous pardonne si sincèrement ? L'hiver prenait fin / des fantômes de nuages / luttaient avec la lumière, écrit-il à l'endroit où nos grandeurs s'épuisent. Comment prendre le pouls du ciel illuné / musical lorsqu'il calcule la poésie sobre / de l'étrange ? Sous cette plume concise, Éric Sivry fait parler les terres, les pays soigneusement arpentés où il fait bon inventer une résonance / du bout du monde. Ces vers nous content d'autres solitudes / dans cet océan de contradictions / que l'on nomme une « oeuvre » et nous sommes suspendus à l'instant / comme le hasard au bout d'un fil. En le suivant du doigt, habi tuons-nous à ces mélodieuses métamorphoses. illustration de couverture : Laudine Jacobée-Biriouk. intitulée «Tu me plais et je te plais» oeuvre numérique, 2020
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