L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ainsi, Djian me présentait à ses amis Salinger, Kerouac et Faulkner. Il m'expliquait pourquoi l'écrivain Céline mérite, contrairement à l'homme, qu'on s'y attarde. Pourquoi Hemingway est un maître, même si « en avoir ou pas » importe peu. Comment Brautigan s'est débrouillé pour faire décoller des planeurs et dans quelle mesure Carver fut touché par la grâce. Fort de ces rencontres décisives, je pouvais désormais envisager l'avenir avec confiance. Je commençais à comprendre ce qu'était un écrivain. Je commençais à comprendre que pour tous ces gens qui allaient m'accompagner pour le restant de mon existence, l'écriture demeurait inséparable de la vie. Philippe Djian venait d'allumer en moi des incendies qui ne se sont plus jamais éteints. Alors qu'il s'apprête à publier son 29e roman, Philippe Djian revient avec mordant et lucidité sur sa méthode de travail, son rôle de passeur, ses enthousiasmes, affirmant au passage son attachement à la langue - cette matière vivante et inflammable qui n'a de cesse de l'obséder.
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