Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
E-kichen ar c'hoariva relijiel, ar Misterioù, e oa er Grennamzer ur C'hoariva farsus. Pezhioù- c'hoari laouen, fentus, gros a-wechoù ; pezhioù flemmus, goapaus, un tammig kentelius lod anezho.
"La farce du Cuvier" a zo e Bro-C'hall, unan eus ar re vrudetañ. E brezhoneg ez eus deut betek ennomp un nebeut gwerzennoù eus "Amourousted an den kozh"... Ouzhpenn ar pezhioù farsus edo ivez ar Fablennoùigoù - "Fabliaux" e galleg...
Kavet e vo da lenn el levr-mañ "En-dro d'ar poull" diwar "La farce du Cuvier" ha div fablennig, renket e doare pezhioù-c'hoari : "An div glujar" hag "Ar pallenn etre daou". Ha da echuiñ tri fennad eus "Romant al louarn". Displeget eo bet - hag e vez c'hoazh - ar pezhioù berr-se gant Strollad Ar Vro Bagan.
Au Moyen-Age, les pièces de théâtres farcesques côtoyaient les pièces religieuses et les mystères. Pièces gaies, drôles, quelquefois grossières ; comédies satiriques, moqueuses, un peu moralisatrices pour certaines.
" La Farce du Cuvier " est une des plus connues en France. Quelques versets des " Amours du Vieillard " ne nous sont-ils pas parvenues en breton ? Outre les comédies, les fabliaux étaient également très répandus.
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