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Ce livre est un cri de colère - le cri de colère d'un père à qui on a arraché sa fille.
Colère contre les barbares islamistes d'abord. Mais aussi colère contre la lâcheté des politiciens qui n'ont rien fait pour s'opposer à l'islamisation de la France.
Les bien-pensants s'indigneront peut-être. Mais comment juger un homme qui a subi une perte si lourde - par la faute d'autres hommes?
Patrick Jardin n'a plus rien à perdre. Et un seul objectif: empêcher de nouvelles tragédies où disparaîtraient d'innocentes victimes comme sa fille Nathalie.
Patrick Jardin est un père qui a perdu sa fille Nathalie lors des attentats survenus au Bataclan en 2015, un père endeuillé qui clame tout au long du bouquin que non il ne pardonnera pas les assassins de sa fille.
Il dénonce sans fare les politiques, Valls entre autre qui a osé lui demander de se taire face aux caméras au moment où il avait besoin d'humanité (d'où le titre). Il dénonce les journalistes qui le censurent, qui déforment ses états d'âmes, il dénonce l'islamisme, mais aussi le manque d'action une fois "les bougies et autres fleurs déposés" après les divers attentats.
Il répète que c'est sa vérité peu importe si elle choc, à bon entendeur, mais ne nie pas pour autant qu'il aimerait pardonner pour être soulagé... Mais comment pardonner la cruauté ?
Il dissèque les failles du système économique, du système français dans sa globalité, plus particulièrement de sa sécurité intérieure et du manque cruel de mesures prises par l'état pour endiguer le fléau perpétré par ceux qui se prônent martyrs
Patrick Jardin ne s'en cache pas, il a la haine.
Elle est bien là, ancrée, et l'injustice de la justice, les aberrations politiques la nourrissent.
Au-delà d'un livre exutoire, "Pas devant les caméras" évoque des points historiques politiques et sociaux importants, libre à chacun d'y adhérer et de se forger une opinion, d'analyser les tenants et les aboutissants mais au moins c'est dit et ça fait du bien de voir le bien-pensant mis de côté.
C'est un livre sans filtre. On laisse la parole à Patrick Jardin, il peut défendre, argumenter son point de vue, bravo à Presse de la délivrance pour cela.
En somme, plaire ou ne pas plaire au lectorat, là n'est pas le but de ce témoignage. Dès les premières pages, il faut savoir mettre ses sentiments de côté, ses idéaux et ouvrir son esprit pour totalement comprendre comment l'auteur en est arrivé là. Sur la forme bien évidemment on ne peut pas s'attendre à du Zola, il y a à mon sens quelques répétitions et certains points sont à prendre avec des pincettes mais ce n'est rien, car ce qui compte c'est le contenu. Il faut prendre le temps d'analyser les propos de l'auteur, d'analyser l'Histoire et le courant actuel pour pouvoir s'imprégner pleinement de ses arguments, et y adhérer ou non et si ce n'est le comprendre au moins respecter sa position, et son statut de victime collatéral.
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