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On raconte que pour voir la région, il suffisait de monter sur une valise. Jetée au début du livre, cette phrase, belle et énigmatique, ouvre sur le désastre d'une ville, d'un port aux eaux froides et noires, celles de la mort et de la débâcle.
Dans une prose âpre, rude et meurtrie, mais non dénuée d'humour, le poète Werner Lambersy, mêlant ici le conte, la chronique et la nouvelle, traque les dérives, pointe les failles et dénonce les pesanteurs religieuses et sociales. Il prend le temps de nous dire aussi que les ginkgos, la pluie, la lumière du matin, les menhirs et les vieux chevaux sont encore là pour remuer les eaux secrètes du sublime.
Abdelkader Djemaï (extrait de la préface)
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