A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
Dans cet ouvrage, le cinéaste kiju yoshida évoque la figure de yasujirô ozu, l'un des plus grands auteurs du cinéma japonais avec akira kurosawa, kenji mizoguchi et mikio naruse.
Avec des chefs-d'oeuvre comme printemps tardif (1949), le voyage à tokyo (1953), le goût du saké (1962), ozu est le metteur en scène de l'intime et de la famille, des changements de saisons et des infimes bouleversements de l'existence. il est considéré comme un maître par nombre de réalisateurs contemporains (hou hsiaohsien, aki kaurismâki ou wim wenders qui lui a consacré un film, tokyo-ga). dans ce livre essentiel, kiju yoshida revient sur le parcours, le style et l'esprit d'ozu dont il fut l'assistant.
Issu comme lui des studios shôchiku, il exalte la singularité et la poésie de l'oeuvre d'ozu, ses débuts dans le cinéma muet, sa technique (la légendaire caméra " au ras du sol ") et sa façon de faire de " fanti-cinéma " : " en éprouvant le besoin d'entreprendre cet essai tout en étant bien conscient de la vanité de l'entreprise, écrit yoshida, je parle du cinéma d'ozu comme si je poursuivais un mirage dans un pré au printemps.
".
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste