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Pendant la Première Guerre mondiale, la France a interné les ressortissants civils des puissances alors en guerre contre elle.
Ce fut le cas d'Helene Fürnkranz et de sa famille d'origine autrichienne qui durent quitter leur résidence de Neuilly pour le camp de Garaison, situé dans un ancien couvent des Hautes-Pyrénées. Elle y demeura dix mois, du 7 septembre 1914 au 9 juin 1915.
De cette expérience, Helene Fürnkranz a retiré une oeuvre originale : une opérette publiée en Suisse en 1917, après son rapatriement.
Il s'agit de la première traduction française du livret de cette opérette.
Fruit d'un partenariat entre le CREG (Centre de Recherches et d'Études germaniques, Université Toulouse Jean Jaurès) et Le Pérégrinateur Éditeur, cet ouvrage prolonge et complète les témoignages de Gertrud Köbner et Helene Schaarschmidt parus dans Récits de captivité.
Garaison 1914, ainsi que la notice consacrée à Helene Fürnkranz dans le dictionnaire-anthologie Le Sud-Ouest de la France et les Pyrénées dans la mémoire des pays de langue allemande au XXe siècle.
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