L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Le 8 septembre 1524 meurt Charlotte de France, fille de François Ier, promise au futur Charles Quint. Elle a huit ans. Marguerite d'Angoulême, duchesse d'Alençon, recueille son dernier souffle. Sa foi évangélique lui inspire un poème dialogué contant l'apparition consolatrice de sa nièce et retraçant son cheminement spirituel couronné d'une expérience mystique. Charlotte lui enseigne que par le Christ « morte est la mort » et lui dévoile le chemin d'amour et vive foi qui mène à la déification.
Ce dialogue entre deux « dames » de la maison du roi livre aussi discrètement une réflexion sur la condition des femmes de la Renaissance, des mères endeuillées aux chrétiennes aspirant à une vie spirituelle intériorisée.
La présente édition, établie d'après l'unique manuscrit sans titre, explore le contexte de la première grande oeuvre de l'autrice promise à une importante fortune à la Cour et tente d'éclaircir le mystère de son impression en 1533.
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