L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Sabine Tamisier fait entendre ici la voix de Nina en guise d'épilogue ou de «lendemains» à La Mouette d'Anton Tchekhov. Nina est à Yelets et joue Ophélie dans Hamlet. Ce soir, le journal lui annonce la mort de Treplev qui l'a aimée et qu'elle a laissé. Il fait nuit, il neige. Nina part.
Elle croise ceux qui l'ont connue : Arkadina, Trigorine, Medvedenko, Dorn... Nina est traversée par leurs voix. Fantômes ou rencontres? Traverses. Elle marche, chute, se relève, à l'aube arrive et rage. Rend ce qu'elle doit à Treplev pour encore marcher, avancer, jouer et se tenir debout, longtemps.
Un monologue parcouru de voix, des fantômes, Hamlet, La Mouette, Tchekhov... c'est un hymne au théâtre qu'entonne Sabine Tamisier. Et c'est une déclaration d'amour à Nina, archétype du personnage tchekhovien et de l'actrice engagée. Une partition majeure et une écriture empathique qui laisse sourdre l'exaltation russe.
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