Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
" Ô Mozart, que tu n'es pas digne de toi-même ! " jetait Salieri à la figure de Mozart, tout en s'enivrant de sa musique. " Tu es divin, Mozart, et tu ne le sais pas ", ajoutait-il. " Bien que divin, j'ai faim ", rétorquait Mozart, en pressentant déjà sa mort.
Cette pièce d'Alexandre Pouchkine parut à Saint-Pétersbourg dans l'almanach « Les Fleurs du Nord » de l'année 1832. L'une des quatre Petites Tragédies du poète, elle s'inspirait de la légende du Requiem et de l'assassinat de Mozart par Salieri, jaloux du don et, plus encore, de la légèreté d'être de son confrère. Pouchkine y posait surtout la question du génie. Le choix de l'alexandrin pour cette nouvelle traduction ouvre l'espace dans lequel la parole pouchkinienne retrouve sa transparence et sa luminosité.
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