"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Sur la digue, un homme a été assassiné dans sa propre demeure. On a tiré sur lui du fond du jardin alors qu'il se tenait devant la fenêtre. Il s'appelait Tom, ne parlait à personne et ne travaillait apparemment pas. Ce misanthrope contemplatif et désabusé s'était retiré du monde. Qui pouvait lui en vouloir ?
Devant l'absence de mobile et l'improbabilité du suspect principal (une voisine qui a le tort d'être une tireuse d'élite), De Gier, Grijpstra et le commissaire se demandent s'ils ne se trouvent pas devant le plus beau des crimes gratuits. Mais sur la digue vivent aussi d'autres gens : une bande de marginaux plus ou moins voleurs dont le chef semble être " le Chat botté ", un homme des plus serviables, toujours vêtu d'un costume de velours. Comment relier tous ces gens-là à la victime ? C'est alors qu'allongé près de son chat, De Gier pense que le crime a été commis par erreur. Pour protéger les secrets de la digue, justement.
" Comme d'habitude, nous avons droit à une série de sketches, parfois dramatiques, mais le plus souvent désopilants, qui s'enchaînent en zigzag jusqu'au mot de la fin. Ici, le morceau de bravoure décrit la rencontre du sémillant De Gier avec une géante ogresse nommée Ursula qui, d'emblée lui propose la botte, puis l'entraîne dans une randonnée héroïque dans une Mini pourrie, avec pour passager un mouflet insupportable. Ces quelques pages sont un morceau d'anthologie. Un régal pour tous ceux qui apprécient l'humour décapant de Wetering. "
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