"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Maître-écuyer de S.M. l'Empereur dAllemagne, Paul Plinzner est entré comme cadre aux écuries de Guillaume Ier. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont Moyens artificiels à des fins utiles (1879), Que pouvons-nous faire pour améliorer l'équitation ? (1882). Il a également complété le Gymnase du cheval de Gustav Steinbrecht (1892 puis 1901) en particulier pour la partie traitant du galop. Plinzner a fait lobjet de critiques de la part des classiques pour son utilisation du ramener bas dans le dressage des chevaux.
Dans Méthode gymnastique du cheval (1887, traduction du lieutenant A. Lehr, 1894), ouvrage d'une étonnante qualité, Plinzner nous propose une méthode de travail précise et concrète. Il décrit chaque période de la progression du dressage dont il détermine les objectifs et les procédés.
Son but : obtenir un cheval en avant, sur la main et qui voûte son dos avec souplesse, ces deux objectifs étant lobjet de la première période ; il insiste ensuite sur les leçons ployées et le travail latéral pour développer la souplesse : deuxième période ; enfin, c'est le perfectionnement de l'équilibre avec la recherche du rassembler : la troisième phase. Plinzner précise aussi certains exercices tels l'arrêt, les appuyers, les pirouettes...
Ce précieux manuel, qui a le mérite de la clarté, désigne l'héritier de Steinbrecht comme l'un des maîtres de l'équitation académique allemande.
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