L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Dès 1942, nous savons qu'Adorno voulait publier un volume contenant les comptes rendus de ses propres rêves, mais le projet ne vit jamais le jour et c'est donc pour la première fois que nous pouvons en prendre connaissance, avec cette publication inédite.Ce volume traduit une tentative de traiter le rêve comme une forme littéraire à part entière, sachant que la forme, et Adorno a toujours insisté sur ce point, est aussi la contrainte sociale intériorisée. Le rêve est rapporté avec la plus grande sincérité possible, et sans psychanalyste pour y faire écho. Le rêve n'est pas un sujet. Il n'est pas non plus au service de la subjectivité, il est la subjectivité. Adorno veut entendre un langage « en dessous du langage désemparé des hommes » : « ne sont vraies que les pensées qui ne se comprennent pas elles-mêmes ». Au total, c'est presque trente ans que couvre ce volume qui ne témoigne ni du passé ni de la pensée d'un des plus grands témoins de l'histoire et de la philosophie, mais d'une radiographie de l'intime d'une rare élégance et d'une écriture dont l'audace encore aujourd'hui nous désarme.
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