L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Au début il y avait eu, nous dit-on, la lueur d'yeux anciens entre les feuilles, la trace d'un wakizashi, et la longue marche d'un rônin pourchassé par l'hiver. Puis le fil droit, génération après génération, de bushis, de poètes, de forgerons de sabres et de céramistes, de duellistes toujours : les Izôkage, la lignée des 'enfants de Seppen', âmes doubles éternellement traquées par une antique vindicte. Il faut suivre le conte des Seppenko depuis le début, étranger, pour comprendre. Pour démêler le faisceau d'énigmes qui constitue cette fresque de sang et de flocons, d'hier à aujourd'hui, de Kyoto à Frontier.
Derrière les contes d'encres et de neige, derrière la pluie du Grid, derrière ces âmes morcelées qui toujours se retrouvent ; strate après strate, comme les plis d'un éventail... ce n'est pas sans raison que nous sommes les racines et le bouclier de notre pays. Et avant le 'pourquoi', voici le 'comment' : ma famille sait tout du prix à payer pour être, et demeurer, extraordinaire.
Au carrefour de la Fantasy mythique, de la Fantasy urbaine, et du Cyberpunk, Léa Silhol rassemble les tableaux épars de sa saga japonaise (1999-2019).
Masshiro Ni constitue le premier chant du Seppenko Monogatari dont le second volume, (Hanami Sonata) et le troisième (Romaji Horizon), sont déjà parus.
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