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Dans le titre, un mot déroutant : Mor. Puis une clef pour entrer dans la chambre noire où ce livre fut écrit : « En danois, Mor = Maman, mord = meurtre ». Ainsi l'auteur nous parle de sa mère, femme puissante qui dévore ses propres enfants. Le livre s'ouvre sur une perte - « Ma Mor est morte » - et se poursuit par la volonté d'achever, aux deux sens du terme, des « souvenirs déchus ». Paul de Brancion a eu besoin de plusieurs langues pour y parvenir. Comme si sa langue maternelle ne suffisait pas, comme si Mor était la tour de Babel d'une humanité rendue étrangère à elle-même. Restent les questions qui me poussent à publier ce livre d'amour et de haine : Comment peut-on détruire ce que l'on aime ? Pourquoi pleure-t-on la disparition de ceux qui nous ont fait souffrir ?
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