Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Le comble de l'image lourde, dont la notion chemine à travers ces pages mais n'est vraiment abordée que dans une quatrième intervention, c'est le spectre. Sa représentation douteuse tourne à la quasi-présence : ni mort ni vivant, ni passé ni présent, de l'ordre du retour ou de la revenance, le spectre se tient entre, et du même coup nous hante. L'oeoeuvre de Derrida, puis sa mort assez déchirante, ont donné entrée au Collège à cette fifi gure peu fifi gurable, limite de nos représentations. Nous l'avons abordée aux côtés de Bernard Stiegler lors d'un exposé croisé, face à des extraits de fifi lms. Au moment de parler puis de récrire ce qui suit, j'ai tenu compte de la quasi- présence de deux spectres familiers : Aragon, Derrida.
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Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
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