L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Un roman magnifique.
Si je n'avais aucun doute sur la qualité de la plume d'Andrée Chédid, aimant beaucoup ses poèmes. Mais je ne savais pas ce que j'allais découvrir en lisant ce roman. Et j'y ai découvert de la poésie, de l'humanité et du bonheur. J'ai été envoutée par sa plume, par la douceur et la magie qui se dégage de ce récit.
Ce n'est pas une histoire drôle, loin de là. Sur fond de guerre, qui rappelle ce qui se passe actuellement en Israël, un orphelin se débat pour sa survie. Amoché, amoindrie, il n'oublie pas de vivre et sème l'amour autour de lui.
La vie plus forte que la mort, l'amour plus fort que la haine. Un récit éblouissant, un petit bijou à relire indéfiniment.
Omar-Jo était heureux au milieu de ses parents : maman chrétienne libanaise et papa musulman égyptien. Ils habitaient Beyrouth. Un chapitre sur deux, l'auteure nous livre des bribes de l'histoire de cette famille unie. Un couple qui aurait pu vivre heureux jusqu'à la fin de ses jours. La guerre en a voulu autrement, la mort les ayant surpris trop tôt. Devenu orphelin à la suite d'une explosion, Omar-Jo, 11 ans, a aussi perdu un bras. Il s'exile à Paris, recueilli par des cousins. Il fait la connaissance de Maxime qui a quitté sa vie tranquille pour devenir forain. Son manège ne tourne pas vraiment rond... C'est sans compter l'humour et le savoir-faire d'Omar-Jo. Celui-ci est plein de vie, de fougue et sait partager ses élans. Maxime en vient lui-même à espérer à des jours meilleurs.
Un bel hymne à la vie, à la paix, à l'amour, à l'amitié et à l'humanité. Un roman facile à lire, touchant et plein de sensibilité.
Omar-Jo était heureux au milieu de ses parents : maman chrétienne libanaise et papa musulman égyptien. Ils habitaient Beyrouth. Un chapitre sur deux, l'auteure nous livre des bribes de l'histoire de cette famille unie. Un couple qui aurait pu vivre heureux jusqu'à la fin de ses jours. La guerre en a voulu autrement, la mort les ayant surpris trop tôt. Devenu orphelin à la suite d'une explosion, Omar-Jo, 11 ans, a aussi perdu un bras. Il s'exile à Paris, recueilli par des cousins. Il fait la connaissance de Maxime qui a quitté sa vie tranquille pour devenir forain. Son manège ne tourne pas vraiment rond... C'est sans compter l'humour et le savoir-faire d'Omar-Jo. Celui-ci est plein de vie, de fougue et sait partager ses élans. Maxime en vient lui-même à espérer à des jours meilleurs.
Un bel hymne à la vie, à la paix, à l'amour, à l'amitié et à l'humanité. Un roman facile à lire, touchant et plein de sensibilité.
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