Découvrez 6 romans délicieusement horrifiques et tentez de les gagner...
Le public ne désire pas l'horreur pourtant il en jouit dans l'art et en souffre dans la vie. Lorsqu'il s'agit d'une monstrueuse union d'abjection et de sublime, la jouissance devient jouissance jamais pacifiée, toujours problématique, souvent irrésolue, qui touche au domaine physiologique si ce n'est pathologique.
Une rhétorique des effets que le public connaît bien. Une rhétorique des effets extrêmes qui transforme le spectateur en voyeur ou victime, avec la victime exhibée, qui le transforme en bourreau apathique, lorsque la cruauté se laisse exposer sans réserve. Des regards de l'horreur qui sont jouissance de la limite, jouissance à la limite : le dix-huitième siècle l'enseigne. Un sens de la limite c'est ce que le siècle du bon goût élabore, car représenter l'horreur signifie choisir non pas tellement de l'apprivoiser mais de la rendre encore susceptible de procurer du plaisir. Jeu de limites qui n'en sont pas si elles peuvent faire allusion à un infini dont les traits sont bien souvent ceux du sublime.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Découvrez 6 romans délicieusement horrifiques et tentez de les gagner...
Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Yeong-ju est l’heureuse propriétaire d’une nouvelle librairie, située dans un quartier résidentiel de Séoul...
Un moment privilégié avec l’auteur de la bande dessinée "Azur Asphalte" : attention, places limitées !