Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
S'inaugurant comme un classique roman d'amour à Venise : un voyage de noces, la passion des corps, la découverte des lieux, le quatrième roman d'Irène Schavelzon nous conduit de couloir en couloir, de la maison jusqu'à la pièce, de la pièce jusqu'au réduit. Dédales, extérieurs ou organiques, pour échapper à cette annexion réciproque, à cette dépendance possessive.
Seuls viennent troubler cette ordonnance macabre les souvenirs vivants de la première maison - décrite dans les précédents livres - maison de l'enfance, heureuse. Juchée sur le mur d'enceinte, la petite fille n'est alors ni dedans, ni dehors.
Mais rien - et pas même ces images récurrentes - ne pourra freiner cet inéluctable processus de réclusion forcée, infime, externe-interne. Les mots sont recueillis, empilés, entassés jusqu'au moment final du rejet, de la destruction - de l'autre et de soi - de la déjection.
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