Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Héritier des procédés photographiques, c'est d'abord la lumière qui semble s'imposer dans le cinéma.
De la lumière, il en faut pour capter et enregistrer l'image, puis pour la projeter. N'est-il donc pas contradictoire de vouloir parler du cinéma comme d'un art de l'ombre? L'ombre n'est-il pas simple absence de lumière, de la lumière arrêtée par un obstacle? Quel usage peut alors faire le cinéma de ce « lieu noir », dont la route de nuit est la métaphore par excellence? Le cinéma n'échappe en effet pas à l'ancienne croyance qui oppose lumière et ombre en leur attribuant une valeur de principes. Et pourtant, la relation du cinéma à l'ombre ne s'épuise pas pour autant dans ce legs d'une « ombre figure » et d'une « ombre milieu ». Jacques Aumont montre alors que l'ombre, peut-être même plus encore que la lumière, est constitutive de cet art qu'est le cinéma.
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