"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Célia a tissé avec son arrière-grand-mère, Mamine, des liens très forts. Lorsque celle-ci commence à perdre la mémoire, la petite fille découvre que l'on peut oublier même ceux que l'on aime. Alors une nuit, elle rend visite à Mme Sognia qui tient le magasin de souvenirs. Le parchemin couvert d'écritures que déroule la marchande permettra-t-il à la vieille dame de retrouver son passé ?
Basé sur une idée originale de Jeanne TABONI MISÉRAZZI, et réécrit par Didier JEAN et ZAD. Ce texte poétique aborde un sujet auquel les enfants peuvent se trouver confrontés : la maladie de leurs grands-parents. L'image du magasin de souvenirs que la petite Célia, entre rêve et réalité, prend au pied de la lettre, permet de mettre des mots sur cette maladie de l'oubli. En consignant les souvenirs de Mamine, la petite fille partage aussi avec sa grand-mère son passé et devient elle-même dépositaire de ces histoires qu'elle pourra transmettre.
Une jolie façon de dire que les enfants doivent également apprendre à profiter de cette richesse, quand il en est encore temps.
ISALY a mêlé la mine graphite (critérium), les encres aquarelles et les crayons de couleurs, pour créer des illustrations douces et oniriques.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !