L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
« Quand j'étais petit, on voyait déjà des films américains à la télé.
L'image était en noir et blanc dans un écran bien trop minuscule pour tout montrer : ils avaient de très grandes voitures, les américains, qui faisaient plein de poussière même, sur des routes sans fin.
Tantôt cow-boys, tantôt cosmonautes, ils étaient toujours partants pour de nouvelles aventures les américains, et avec le sourire en plus, car le progrès devait les mener très loin. loin. loin ».
Michel Galvin a rêvé avec les américains et il nous montre que l'imperfection est aussi de ce monde dont il salue l'inventivité, avec en exemple ce trou géant qui permet de tout multiplier.
Une idée lumineuse en somme, comme en rêve aussi, mais tellement incontrôlable quand il enchaine les faits divers les plus inattendus.
Ce livre se lit comme une maquette géante où le noir et blanc fait une place hésitante à la couleur à la manière de l'ancien poste TV :
Est-ce là un grand jeu ou la réalité ? un souvenir ou un possible ?
Sans doute simplement un drôle d'hommage au progrès que même le plus grand des américains ne saurait arrêter.
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