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Janvier 2011 : le monde découvre un monstre dans ses placards.
Un abominable fossile à figure humaine, prospérant à l'ombre de lois scélérates, un peu partout aux portes de la civilisation, à Tunis, en Egypte, en Libye, en Algérie et peut-être même en Europe...
Le Dernier Soir du dictateur est une pièce où l'imagination abdique devant la réalité. Car rien n'est plus absurde que l'absurdité qui nous frappe.
Le monstre du Dernier Soir du dictateur n'a pas d'âge. Ou alors l'âge de la désespérance humaine. Il n'a pas de visage non plus. Ou alors celui, de la démence qui veut régenter le monde.
Il n'a pas de nom autre que ceux qui pullulent dans nos journaux, pas de pays sinon ceux qui crèvent sous son glaive. Il n'a pas d'avenir, sinon dans la mort, la mort qu'il aime à donner mais qu'il finira par s'offrir, pour emporter avec lui l'idée de la toute-puissance et ne pas vivre en créature abattue par l'étendue de sa propre aliénation.
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