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Claude Quétel se souvient, dans ce récit à la fois souriant et nostalgique, du petit garçon qu'il fut à la fin de l'Occupation.
C'est avec la précision et l'espièglerie de son jeune âge qu'il dépeint le « paysage de guerre » qu'est devenu son village : les « boches », les Résistants et bientôt les Alliés qui déferlent sur plages les normandes lors de l'inoubliable Jour J.
Version enfantine du Mon village à l'heure allemande de Jean-Louis Bory, touchante évocation d'une Normandie âpre et modeste, ce récit est aussi celui d'une mémoire de la France qui se réveille après l'Occupation, raconté par un grand historien.
Surprenant récit d’un historien qui emmène son lecteur dans la Normandie du débarquement aux années d’après-guerre. Caen est au centre du sujet, mais, outre les faits spécifiquement liés à la région j’ai sans cesse transposé le texte dans la campagne où j’ai passé une grande partie de mon enfance, quelques années plus tard, alors que les populations émergeaient toujours d’une période pendant laquelle elles s’étaient adaptées à des conditions des plus précaires.
C’est un récit plein d’émotions, celles qui évoquent les ravages de la guerre notamment en Normandie, comme celles des souvenirs d’enfance du narrateur dans une famille avare d’affection, ses jeux simples, ses « jeux de vilain », ses copains, le chien des boches qui ne tient que quelques lignes mais qui fait partie des nouveaux habitants. C’est aussi le récit de la construction d’un enfant ivre de lecture.
Belles pages de nostalgie.
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