L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Les rêves et les désillusions de l'adolescence,
Prix Nadal 2004, aujourd'hui porté à l'écran par Antonio Banderas.
C'est un été, quelque part en Andalousie et pas très loin de la mer, alourdi de prémonitions annonçant la fin de quelque chose. Ce sera l'adolescence, perdue à jamais lorsque l'automne arrivera et la pluie écrasera la lumière et le parfum des fleurs. Mais pour l'instant, Miguelito, qui vient de subir une opération du rein, découvre la poésie (à côté d'un moribond à l'hôpital) et l'amour (dans les bras de la belle Luli Gigante). Partout, l'amour, l'innocence, l'insouciance estivales.
Cependant, à la fin de l'été, tout s'écroulera doucement, inexorablement...
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