"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Marc est un jeune étudiant rêveur, paresseux et cultivé. Puisqu'il est temps de devenir un homme, il dresse son propre bilan de compétences : la seule chose qui le motive vraiment dans la vie, c'est le grand amour, et il lui faut bien reconnaître qu'en la matière il est le pire des cancres.
Il part se ressourcer dans sa famille, en Bretagne, auprès de ses parents et de sa grand-mère qui lui révèlent un grand secret : ce qui fait durer les couples, c'est l'incompréhension mutuelle !
Il transforme alors cette conviction en plan de bataille et décide de tenter sa chance à l'international, auprès d'étrangères dont il est sûr qu'elles ne le comprendront pas.
Marc va se lancer au fil des ans dans trois campagnes téméraires, en Italie, aux Etats-Unis et en Russie. Malheureusement pour lui, les femmes sont les plus clairvoyants des stratèges, et il lui faudra affronter des débâcles sanglantes avant de prétendre à une galante victoire.
Un vrai coup de coeur ! Une bouffée d'oxygène. Hervé Pouzoullic nous livre là un roman subtil, drôle, aux situations cocasses.
Le personnage de Marc....ah ! ce Marc....comme il est attachant. Il cherche le grand amour qui dure toute une vie. Ce bel amour si rare de nos jours où les couples se font et se défont (parfois pour si peu de choses !).
Bien conseillé par sa famille-refuge, il se tourne donc vers une recherche dans l'amour à l'international.
Mon Dieu, dans quelle galère est-il allé se mettre ? Je ne compte pas le nombre de fois où j'ai souri et même ri au fil de ses aventures.
A l'époque des sms où les voyelles n'apparaissent plus ou si peu dans les messages, j'ai beaucoup aimé le choix très judicieux d'Hervé Pouzoullic d'employer le passé simple. Les insertions de la poésie n'en rendent que la lecture encore plus agréable, sans oublier les autres références culturelles (le "ça dépend, ça dépasse" m'a fait littéralement éclater de rire).
Bref, je verrais bien une adaptation cinématographique de ce premier roman et pour clore mon propos, je dirais même qu'il devrait être remboursé par la sécurité sociale et au Diable les anti-dépresseurs, les somnifères et autres poisons qui enrichissent les laboratoires !
Enrichissez-vous plutôt de la lecture du "Bigorneau fait la roue" !!!!.
Moi je m'en vais commander "L'homme qui voulait aimer sa femme" dès sa sortie.
http://leslivresdejoelle.blogspot.fr/2018/05/le-bigorneau-fait-la-roue-dherve_7.html
Marc, un jeune homme de 23 ans d'origine bretonne, étudiant à Sciences Po depuis des années, cherche un sens à sa vie. Brillant dans ses études, il n'a pas la même réussite dans ses relations amoureuses. Il cherche comment trouver l'amour car chacune de ses histoires se termine mal, il se retrouve plaqué en général au bout de trois jours, un amour durable reste son rêve absolu...
Marc va chercher du réconfort auprès de ses parents et surtout de sa grand-mère qu'il adore... Il apprend ainsi que le secret d'un couple qui dure est l’incompréhension mutuelle. Il va alors décider de séduire des jeunes femmes étrangères, il pense qu'une différence de culture va lui garantir la longévité amoureuse à laquelle il aspire tant... Il va rechercher l'amour à l'international auprès d'une italienne, puis d'une américaine et d'une russe...
Voici un premier roman léger et rafraîchissant, un livre sans prétention à la lecture fluide à glisser entre deux lectures plus lourdes. L'immense culture du héros est le prétexte tout trouvé pour l'auteur de glisser de multiples références littéraires et cinématographiques au gré des ses mésaventures. Distrayant, ce roman au joli titre et à la magnifique couverture constituée d'un bigorneau affublé d'une queue de paon, nous raconte une histoire où, pour une fois, les rôles sont inversés, où pour une fois c'est l'homme qui est à la recherche de l'âme sœur.
J'ai terminé "le bigorneau fait la roue" d'Hervé Pouzoullic. J'ai beaucoup apprécié le style léger, humoristique du livre, l'auteur emploie des comparaisons inattendues qui m'ont fait sourire, il se réfère à des faits, des auteurs, de l'actualité. Bref il fait preuve de beaucoup d’érudition.
Il emploie le passé simple avec brio.
C'est vraiment avec plaisir que j'ai lu les aventures de Marc, un "célibataire non endurci qui fait preuve d'imagination, parcourt le monde pour trouver l'âme soeur. Il rencontre des déceptions mais repart de plus belle. Après bien des péripéties et chagrins d'amour, soutenu par deux copains, il trouve enfin la femme qu'il lui faut........C'est une aventure rondement menée ! J'avoue avoir relu certaines phrases pour le plaisir de la langue française
Je vous fais pars de mon retour de voyage avec Marc, ce jeune Breton très amusant qui recherche le grand amour de sa vie.
On va rencontrer sa famille, sa grand-mère qui lui donne des bons conseils et ses amis de Paris avec qui il fait un pari assez dingue.
Après Science Po, ses rencontres amoureuses sont toujours très amusantes car Marc est assez lourd, je l'ai trouvé un peu prétentieux et il ne peut s'empêcher de réciter des poèmes et d'en faire un peu de trop dans tout ce qu'il entreprend.
Marc va très bien réussir sa vie et s'épanouir dans un monde luxueux, toujours entouré de belles femmes et de sa famille qui le soutient dans sa quête du bonheur.
J'ai bien aimé ce roman qui est un peu pour moi un conte de fée mais pour homme, il était une fois les aventures de Marc avec des belles étrangères.
Italie, États-Unis et Russie trois destination où j'ai suivi avec intérêt les aventures de notre Bigorneau toujours aussi gaffeur et grande gueule qui va parfois s'attirer la foudre de certaines personnes.
Ce roman fait bien rire et ça fait une coupure avec mes autres lectures, j'ai passé un moment très agréable et je vous le conseille vivement.
Le concept est simple mais attrayant car, il interpelle ces écrivains surréalistes qui, à leur époque , cherchaient l’amour d’une parfaite inconnue. Mais dans ce roman, on cherchaient toujours cette parfaite inconnue pour une « incompréhension mutuelle », contrainte à toute attente d’une réponse simpliste de ce qui cet amour tant recherché.. et là, on devient curieux, déjà, parce que ce monsieur-pas-comme-les-autres et sa quête de monsieur tout le monde..
Livre intéressant ça donne envie de le lire moi personnellement j'aime beaucoup de genre de livre
Rencontrer (et garder) l'amour de sa vie, c'est la quête de Marc, le sympathique narrateur de cette histoire distrayante. Mais il faut bien avouer que du côté de la séduction et des sentiments, il lui reste beaucoup à apprendre ! Jusqu'à ce qu'une petite enquête auprès de ses parents et de sa grand-mère lui fournisse une piste intéressante qu'il n'a de cesse d'explorer : le couple ne peut durer qu'en préservant une part irréductible d'incompréhension mutuelle.
Poursuivant le raisonnement jusqu'à son extrême, Marc arrive à la conclusion que c'est en multipliant les différences culturelles, sociales, linguistiques, comportementales... qu'il aura le plus de chance de découvrir le grand amour. Fort de ce précepte, il décide d'élargir son champ de recherche à l'international. Laquelle de l'Italienne, de la Russe, de l'Américaine sera suffisamment à son opposé pour préserver l'espace d'incompréhension indispensable à la survie du couple ? Les tentatives de vie commune lui réservent des trajets en montagnes russes que son humour lui permet de franchir sans trop de dommages et qu'il raconte avec beaucoup de fraîcheur et d'autodérision.
Beaucoup de vivacité et d'humour dans ce premier roman bien agréable à lire et qui a la malice de détourner l'image de l'âme-soeur. Un bigorneau plutôt succulent !
Marc Polovic est étudiant à Sciences Po. Le moins qu’on puisse dire est que ses études ne le passionnent pas. Il vient d’ailleurs d’être collé à ses examens. Enfant, Marc se trouvait laid. Il se sentait la risée de ses camarades. Il s’est réfugié dans les livres et s’est construit une carapace. Une armure faite de citations des grands auteurs qu’il utilise à tout bout de champs pour briller en société, pour se défendre.
« Pour me protéger des moqueries, j’avais finalement décidé de cultiver mon esprit, mon sens de la répartie et de me plonger dans l’apprentissage des auteurs. Et c’est cul sec que je m’étais mis à ingurgiter leur œuvre. Je me droguai aux romans, me piquai aux nouvelles, sniffai de la poésie. Très vite, les bons mots des Grands giclèrent en rafales. Je braquais mon entourage avec Voltaire, tirais au canon avec Scarron, dégoupillais des alexandrins et faisais tout sauter, moi compris. J’étais le Rambo des bons mots. »
Devenu un jeune homme au physique plus attirant, il choisit d’utiliser cette même tactique pour séduire. Mais comme pour ses études, Marc ne brille pas par ses conquêtes féminines. Surtout il n’arrive pas à faire durer une relation plus de trois jours. Il profite de ses vacances en Bretagne pour poser la question du secret de la longévité du couple à ses parents et sa grand-mère. Il a une révélation. Pour qu’un couple dure, le ciment c’est l’incompréhension. Fort de cette découverte il va en faire un plan de bataille et tenter de séduire à l’international. Le bigorneau quitte son rocher pour partir faire la roue à l’étranger.
Son histoire avec Véronica, jeune serveuse italienne, même si elle se termine mal, le conforte dans son idée. Elle a duré plus de seize mois. L’amour avec une femme étrangère semble être la solution. Après l’Italie ce sera les Etats Unis puis la Russie. Après chaque rupture il part se ressourcer dans sa chère Bretagne.
Le bigorneau fait la roue est de ces romans qui se lisent le sourire aux lèvres, le tout ponctué de grands éclats de rire. Un livre jubilatoire. Hervé Pouzoullic s’est amusé en écrivant, en émaillant son récit de citations. On ressent son plaisir, à la lecture. Son style est riche, parfois érudit mais surtout plein d’autodérision. J’ai passé un très bon moment à la découverte de ce livre.J'attends le prochain avec impatience.
« Ma théorie sur l’incompréhension au sein du couple et l’amour à l’international prenait, à mes yeux, toute sa dimension. Quel homme n’a pas souhaité échapper aux vociférations de sa délicate compagne ? Quel homme aux tympans outragés, aux tympans brisés, aux tympans martyrisés ne s’est pas imaginé les tympans libérés des cris de sa gesticulante partenaire ? Je n’échappais ni au son ni à l’image en vivant avec une Italienne. Mais j’échappais aux mots et à leur sens. Par exemple, dans le phonétique « Va voir l’oncle Ulo », je n’ai jamais compris qui était cet oncle Ulo… »
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