« L'ombre de moi-même escorte le verbe qui brise la toile, comme la tempête les voiles du bateau. La photo épouse les mots, pour conjuguer le vivre avec l'amour « qui trouve sa joie dans ce qui est vrai ». Pourra-t-elle nous faire chanter le Credo et louer celui qui a tout conçu ? J'étreins le verbe, je le vivifie, il jaillit des profondeurs telle une prière. S'incliner devant le sacré était le souhait du père Dalmer ; il voulait que l'appel de l'aube vienne éclairer le regard et que le penser ensemble puisse engendrer une fraternité durable. Le lecteur glisse dans un psaume où se déploie un appel, qui, dans ce dernier tome de la trilogie, dont L'Invisible et La Patrie du bonheur, se révèle être une force inattendue, un souhait ultime pour glorifier Dieu. » Marguerite Bauer Benidir
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