L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Le silence étant tissé de sons, il n'est pas que le contraire du bruit. Quelque part, il en va de même pour la solitude et la vie sociale. Mais quelque part, c'est vaste.
C'est là, surtout, qu'a décidé de se rendre le narrateur de La vie sociale, pour fuir la grande ville invivable et cesser d'être ce photographe vampire, se nourrissant de la vie de ses modèles, qu'il a le sentiment d'être devenu au fil du temps.
« Tu connais l'histoire de la pierre qu'on jette et qui croit que c'est elle qui veut se mouvoir ? », écrit-il. « Ce n'est pas mon histoire. » Et pourtant.
Si je ne suis pas une erreur de la nature et que je n'en suis pas non plus le point culminant, que suis-je ? En fait, ce n'est pas la bonne question, me suis-je corrigé. La bonne question serait plutôt celle-ci : Qu'est-ce que je fais ici ? Mon corps est le point culminant de la forêt et pourtant je n'appartiens pas à la forêt.
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