L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
« Les êtres humains ne restent pas jusqu'au bout main dans la main. Il y a en eux une forêt vierge, dense, impénétrable ; une étendue de neige où l'on ne trouve pas la moindre empreinte de pattes d'oiseaux. Nous avançons seuls et préférons qu'il en soit ainsi. » (V. Woolf, De la maladie).
Ainsi, s'ouvre par cette épigraphe La vie dans les Mailles, une vie aux prises avec les souvenirs d'une enfance blessée, les souvenirs de ceux qui ne sont plus et qui ont laissé la terre sous nos pieds à fouler, voire une peine que Véronique Gentil égrène avec les mots : prend forme alors une manière de poèmes qui « sont la mémoire du chaos, ils se chargent de résidus, de tremblements, de retournements, de désordres qui s'étendent extrêmement, de combustions (...) » et font éclore des vers qui éclairent « pour un temps l'obscure versant de la vie ».
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