"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
"La valse du bonheur" débute par la description d'une journée d'avril, dans la capitale albanaise, l'une de ces journées durant laquelle se déroule le rite inoubliable par lequel sont passés tous les pays communistes totalitaires: la mort du Chef.
Du milieu de la foule, s'écoulant tel un sombre fleuve pour participer aux obsèques du Chef défunt, une famille de la capitale, se détachant soudain des rangs, réussit à franchir le portail d'une... Ambassade occidentale !
Cet événement, reposant sur un fait bien réel, ébranla à l'époque l'Albanie tout entière.
Le sort de cette famille ayant fait le choix d'une fuite spectaculaire, les complications dramatiques qui en découlent pour les personnages, la manière dont l'anxiété finit par se mâtiner d'espérance, la constante imbrication des ennuis et du bonheur forment la trame de ce récit tragi-comique où l'humour noir le dispute sans cesse à la terrible réalité.
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