"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
35 Candidates.
1 Couronne.
La compétition de leur vie.
Trois cents ans ont passé et les États-Unis ont sombré dans l'oubli. De leurs ruines est née Illea, une monarchie de castes. Mais un jeu de téléréalité pourrait bien changer la donne.
Elles sont trente-cinq jeunes filles : la Sélection s'annonce comme l'opportunité de leur vie. L'unique chance pour elles de troquer un destin misérable contre un monde de paillettes. L'unique occasion d'habiter dans un palais et de conquérir le coeur du prince Maxon, l'héritier du trône.
Mais pour America Singer, cette sélection relève plutôt du cauchemar. Cela signifie renoncer à son amour interdit avec Aspen, un soldat de la caste inférieure. Quitter sa famille. Entrer dans une compétition sans merci. Vivre jour et nuit sous l'oeil des caméras...
Puis America rencontre le Prince. Et tous les plans qu'elle avait échafaudés s'en trouvent bouleversés...
Tout jeu comporte des règles, et les règles sont faites pour être transgressées.
Premier opus de cette saga, une romance dystopique, une saga familial, amitié, triangle amoureux, j'ai adoré ce tome. Les personnages sont hyper attachants, le scénario pose bien les bases, l'univers est riche avec ce système de class par cast bien développé, pour l'instant pas de gros rebondissements ou de révélation mais ce premier volet nous tient bien haleine. Il y a déjà pas mal d'émotions.
"Maxon, je ne sais pas trop ce que nous sommes, mais nous sommes plus qu'amis, c'est certain.
Il soupire. Je distingue l'affolement de son coeur, qui bat la chamade à travers l'épaisseur de son costume. Avec délicatesse, il relève mon menton. Je sens un attachement indicible qui grandit entre nous.
Ensuite vient le baiser, d'une tendresse inimaginable."
"America Singer, viendra le temps où tu t'endormiras dans mes bras tous les soirs. Et tous les matins, je te réveillerai en te couvrant de baisers. Mais pour l'instant, il faut que je parte. Pas la peine de jouer avec le feu.
Avec un soupir de frustration, je le relâche. Il a raison.
- Je t'aime, America.
- Je t'aime, Aspen."
pour les jeunes adultes.
Dans ces deux premiers tomes, on découvre America, 17 ans, qui vit dans un pays qui fut les Etats-Unis. En effet, l’auteure place son intrigue dans un futur où la carte mondiale a énormément changé. Nous voici plongés dans une dystopie, dans laquelle Illéa est contrôlé par une monarchie et un système de castes inégalitaire.
America va participer à un grand concours organisé par le roi et la reine afin de trouver la future épouse du prince-héritier. Il y a 35 candidates au départ, il n’en restera qu’une. On va suivre la jeune fille tout au long du processus de sélection.
Placer l'intrigue dans un temps futur et mêler romance et dystopie, quelle bonne idée ! Là où arrive la déception, c’est quand je m’aperçois que la romance va prendre l’ascendant sur le reste de l’histoire et que la dystopie est finalement laissée de côté. Ce qui aurait pu faire la différence, n’est pas du tout abouti, quel dommage ! Et si on peut se dire dans le tome 1 que le sujet sera développé dans le tome 2, c’est perdu, car trois fois hélas, ce n’est pas le cas.
Je ne sais pas vraiment que penser des personnages, parfois séduite parfois exaspérée par une America qui ne sait pas toujours ce qu’elle veut et un Maxon qui papillonne, craquant quand il laisse son habit de prince aux vestiaires, parfois énervant quand il joue le privilégié sans personnalité.
La sélection est une lecture légère ; il n’y a qu’à se laisser prendre par la romance et l’effet Cendrillon. Etrangement, j’ai aimé quand même, emportée par ce conte moderne et retrouvant mon âme de midinette (ne pas oublier que l’on est dans de la littérature jeunesse). Côté style, cela se lit tout seul, c’est comme se faire plaisir en picorant un paquet de fraises Tagada. C’est addictif, distrayant et sans vraiment de surprise.
Faites vous partie de celles/ceux qui ont tenté La sélection ? Qu’en avez-vous pensé ?
América est une jeune fille vivant dans un monde où règne un système de castes, dirigées pas le roi Clarckson, la reine Amberly et Maxon, le charmant prince qui est destiné à être l'héritier du trône. Chaque année a lieu une tele-realité qui s'appelle "la sélection". De nombreuses jeunes filles sont sélectionnées pour y participer, dont América. De la va s'en suivre une longue histoire fluide écrite d'une plume légère qui peut parfois se planter dans notre coeur. C'est a la fois un livre très axé sur la vie royale qui n'est pas toujours aussi parfaite qu'elle en a l'air, mais également axé sur de nombreux malheurs qui mettent le lecteur en état de stress. De nombreux moments où l'on a envie de prendre l'un des personnages, de le secouer et de lui dire de réagir, ou ne pas vouloir le voir agir de cette manière. Ce livre est une montagnes russe de moments heureux, de moments stressants ou bien même de la colère, de la tristesse ou de l'empathie. Mais surtout ce livre est un souffle d'amour, d'un amour invincible qui pardonne chaque erreurs pas peur de ne pas pouvoir les pardonner tant que le temps le permet. Comme le dit une phrase dans le tome 3 : "brise moi le coeur, chuchote t-il, brise le cent fois si ça te chante, de toute façon il a toujours été à toi".
Lisez-le ! Ils en valent la peine.
Parfois je me fais une lecture de fille. Un truc léger. Une histoire un peu princesse, un peu Autant en emporte le vent, un peu ado, avec des paillettes, un peu héroïne moderne à la Hunger games ou princess Leïa de Star Wars.
Alors là, comme la 4ème de couverture avait l'air de réunir tout ça dans un joyeux mélange, j'ai plongé.
Côté littéraire, pas de difficulté...on ne se bouge pas trop les neurones, c'est assez, voire trop reposant.
Côté scénario, cela avait l'air simple, mais il est porté par des personnages assez mouvants et peu crédibles. C'est déstabilisant. L'héroïne qui veut sauver sa famille, n'est pas du tout fanfreluches, mais quand même un peu... et puis beaucoup. Elle se permet des privautés avec le prince qui ne vont pas avec la soi-disant rigueur attendue au palais. le prince oscille entre "jenesaispastropquoifaire", "jenesaispasquichoisir" mais quand même "jesuisàlatêtedelamonarchie". Bref il est complètement largué le pauvre. Moi je serais les nanas, je partirais ventre à terre, pieds nus, les escarpins à la main. Mais la plupart, les pauvres, sont complètement écervelées, encore plus fanfreluches que l'héroïne. C'est pas joli-joli pour l'image de la jeunesse féminine. Sans sombrer dans des batailles de féminisme, franchement les filles, on vaut mieux que ça non ?
Et le palais, parlons-en du palais...défendu cahin-caha contre des méchants rebelles qui arrivent quand même à faire trembler cette monarchie de papier et hop ils arrivent à 2 couloirs du salon où sont cachées en pleures voire évanouies, les pauvres filles. Allez me chercher ceux qui les ont sélectionnées, car c'est pas la crème de la crème. le prince est nase, mais il n'est pas aidé non plus.
C'est dommage, l'univers était bien imaginé, mais ça manque un peu de sérieux tout ça. Ou alors je suis devenue trop sérieuse pour y croire.
Alors faut-il le lire ? Non. Préférez la série des Hunger games. Bien mieux fait et bien plus riche.
Ce premier tome est très addictif, impossible de s’arrêter de lire. J'ai beaucoup aimer l'histoire, un prince doit choisir sa futur femme pour ça : 35 prétendantes de différentes castes et le tout en télé-réalité.
J’ai écris une chronique sur le livre sur http://labookineuseaddict.over-blog.com/ en résumé le début est un peu mou mais après on arrive plus à s’arreter 4/5
"La meilleure façon de garder un secret, parfois, c'est de l'étaler au grand jour"
Le caractère d'America, qui est tout aussi drôle que têtue, m'a charmé et je me suis vraiment retrouvée dans ce personnage.
L'intrigue était assez bonne, même si quelques fois je trouvais que tout s'enchaînait beaucoup trop vite, mais appart ça, rien de dérangeant.
Je conseille ce livre qui était assez bien, ni plus ni moins, juste la bonne dose qu'il fallait pour un moment de détente.
chronique : http://leschroniquesdenounett.blogspot.com/2015/07/chronique-litteraire-la-selection-tome.html
Je me suis lancée dans la lecture de la Sélection après avoir vu pas mal d'avis positifs circuler sur la blogo.
Aimant beaucoup les dystopies, c'est sans mal que j'ai entamé ma lecture.
Tout d'abord, j'ai trouvé le principe et le contexte assez intéressants.
Nous sommes dans un pays Illéa qui est naît des cendres de la guerre qu'ont subi les Etats-Unis.
Illéa est une monarchie, où le prince, en âge de se marier, va à travers une télé-réalité choisir sa future femme.
Cette société est divisée en 8 castes et America Singer, qui fait partie de la caste 5, participe à cette émission après avoir été poussée par sa famille. Elle n'est franchement pas convaincue et le fait pour faire plaisir à sa famille. Mais il s'avère que cela ne va pas se passer comme prévu.
Pour commencer, évidemment, on se doute rapidement de ce qui va se passer. Il n'y a pas de surprise.
côté personnages, America a un caractère assez volcanique et c'est ce qui fait qu'elle est différente des autres candidates. J'ai trouvé Maxon assez pompeux au début mais son personnage évolue et il devient de plus en plus touchant par sa naïveté.
La plume de l'auteur est simpliste, elle ne casse pas trois pattes à un canard. Cela en fait une lecture légère, pas prise de tête malgré quelques défauts.
Tout d'abord, je trouve que tout va trop vite, tout se résout vite et cela m'a gênée. En effet, il y a des situations qui se sont passées trop vite à mon gout. On passe rapidement d'une situation à une autre, sans transition, sans explication... Tout est un peu trop facile.
Ensuite, le comportement des personnages est souvent assez incohérent, les réponses qu'ils donnent ainsi que leurs agissements face à certaines situations ne sont pas réalistes. La notion du temps est quelque peu laissée de côté. J'avais l'impression que ce tome 1 se passait sur 1 ou 2 semaines mais en fait, plus d'un mois !
Après j'ai trouvé que ce n'était pas assez développé, pour un tome 1 qui est censé, par sa fonction, introduire la saga, il n'y avait pas assez d'explications sur ce nouveau pays, Illéa, et sur le monde en général qui a apparemment changé d'apparence. L'histoire et la politique ne sont pas expliquées en profondeur. L'auteur en parle rapidement dans un paragraphe et c'est tout.
Les descriptions en général sont aussi laissées de côté, notamment le palais, les jardins, les pièces. Je trouve cela dommage, car c'est une dystopie exploitée de manière superficielle.
Le thème est intéressant, mais il manque beaucoup d'éléments. Pas mal de questions restent en suspend.
Alors peut-être que les tomes suivants apportent plus de précisions...
En bref, malgré le manque de développement et le peu d'actions, on se laisse prendre au jeu et j'ai passé un bon moment : c'est une bonne lecture détente. Les autres tomes m'attendent dans ma PAL, alors j'espère que la suite sera plus prometteuse !
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